Wednesday, August 02, 2006

Danser jusqu’au néant
spirale du non-retour
dans le ventre du monde
épuiser le feu de l’expérience
chaque seconde est une miette d’éternité

le temps est un sanctuaire
un bouquet d’années
une erreur relative à chacun

le corps est un vaste eden
peuplé d’âmes recyclées

4 comments:

  1. Le "vendre" du monde.
    Joli lapsus ou ... suprême ironie ?

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  2. Oui, il s'agit d'un lapsus. Merci pour la lecture attentive. J'ai rétabli la version originale. Je laisse néanmoins la version apocryphe ci-dessous:

    Danser jusqu’au néant
    spirale du non-retour
    dans le vendre du monde

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  3. C'est bien de laisser, entre "ventre et vendre", l'interprétation au monde qui a donné vie au poème -

    @mitiés,

    Tin@

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  4. Le vendre du monde, c'est la spirale infernale de l'économique...

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