Danser jusqu’au néant
spirale du non-retour
dans le ventre du monde
épuiser le feu de l’expérience
chaque seconde est une miette d’éternité
le temps est un sanctuaire
un bouquet d’années
une erreur relative à chacun
le corps est un vaste eden
peuplé d’âmes recyclées
4 comments:
Le "vendre" du monde.
Joli lapsus ou ... suprême ironie ?
Oui, il s'agit d'un lapsus. Merci pour la lecture attentive. J'ai rétabli la version originale. Je laisse néanmoins la version apocryphe ci-dessous:
Danser jusqu’au néant
spirale du non-retour
dans le vendre du monde
C'est bien de laisser, entre "ventre et vendre", l'interprétation au monde qui a donné vie au poème -
@mitiés,
Tin@
Le vendre du monde, c'est la spirale infernale de l'économique...
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